Le Conseil Départemental Brasov hébergea récemment une délégation française y venue pour rouvrir les discutions sur le brand Dracula. La délégation inclut l?homme d?affaire d?origine roumaine Paul-Loup Sulitzer, qui est décidé de valoriser le brand ?Dracula-Brasov-Transylvanie? avec ou sans l?aide de l?administration départementale.
La marque Sulitzer
Il y a quelques mois, Sulitzer a fait une réservation pour cette marque et envisage de l?enregistrer, même si le département ne désirera pas de constituer le partenariat avec Draco-Carpat srl, la compagnie qu?il a déjà ouverte à Brasov. ?L?administration départementale bénéficiera de 20% de la chiffre d?affaires de Draco-Carpat, avec une contribution minimale d?1% du capital social, afin d?avoir accès à la comptabilité de la compagnie. En tant que natif de Roumanie, je suis très amoureux de cette région et je suis décidé de promouvoir et exploiter le brand Dracula? déclare Sulitzer.
Le mythe?.
Comme le conseilleur départemental Toma Dobrogeanu fit remarquer, pas un des roumains eu de profit du mythe crée par l?écrivain irlandais Bram Stoker et amplifié par le film du metteur en scène Francis Ford Coppola, chefs d?œuvres connus dans le monde entier. ?Exploitons donc ce brand afin d?appuyer le développement économique et touristique de la zone tout comme les petites activités des manufacturiers?.
?et l?histoire
Le prince Vlad Tepes, fils de Vlad Dracul, est né en 1431, probablement à la cour princière de Targoviste. Le nom Dracula fut inspiré par une médaille figurant un dragon que son père avait reçu du roi de l?Hongrie. Le surnom Tepes porte sur le terrifiant supplice de l?empalement, une pratique extrêmement répandue au Moyen Age occidental, adoptée aussi par le prince Vlad.